Retour "La Période 1994 à ce jour"

    J’ai accompli ce face-à-face dans un travail très récent (20). Il y apparaît que :

    L’actuelle formulation Hilbert-Dirac de la mécanique quantique ne représente nullement le niveau individuel de la conceptualisation des microétats (sauf sans s’en apercevoir et en contexte erroné) et – tout simplement – elle est dépourvue d’une théorie générale des mesures ‘quantiques’.

    En ces conditions, par confrontation avec l’infra-[mécanique quantique], j’ai construit une nouvelle représentation Hilbert-Dirac des microétats, enracinée explicitement dans le réel microphysique encore aconceptuel. Cette représentation nouvelle est dotée d’un niveau individuel de conceptualisation où est exposée l’entière genèse conceptuelle-opérationnelle-méthodologique du niveau statistique de représentation des microétats, qui est radicalement distingué du niveau individuel de conceptualisation. Grâce à cette sorte de déploiement, les problèmes d’interprétation qui persistent depuis plus de 80 ans, disparaissent. Notamment, le fameux ‘problème de réduction’ s’évanouit, cependant que se dessine le contour d’une théorie globale intelligible des mesures quantiques.

    Mais pour l’instant ce contour présente un hiatus, une interruption tout à fait inattendue – concernant les microétats libres d’(auto)interférence. Et :

La suppression de cette interruption exige des recherches nouvelles, expérimentales et abstraites. Sur l’horizon se dessine la possible nécessité d’une unification innovante entre le formalisme Hilbert-Dirac, et l’approche de Broglie-Bohm.

    Enfin, dans la 2èmeMQ les aspects universels du formalismes peuvent être clairement distingués des aspects qui ne concernent que les microétats, spécifiquement : la perception de ce fait pourrait s’avérer très utile au courants nouveaux de recherche qui se développent actuellement sous les dénominations de "quantum interaction", "quantum social sciences", etc.